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galerie karima celestin

25 rue Sénac de Meilhan
13008 Marseille
+33 (0) 973542437
art contemporain | contemporary art

galerie karima celestin

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Ut0pia

Exposition d’art numérique

Julien Bayle | Kim Byungkwan | Dania Reymond | le collectif Universal Everything

Exposition du 19 janviers au 28 février 2015

Vernissage le samedi 17 janvier de 18h à 21h

Brunch et visite guidée pour les enfants le dimanche 8 février à 13h

L’idée d’un projet d’exposition autour de l’utopie numérique est née avec la certitude que cette année sera le début d'une période nouvelle et novatrice du point de vue technologique, annoncée par des néologismes prometteurs : Médecine exponentielle (Exponential Medecine), méga-donnée (big data), Ville nouvelle écologique (Ecocity).

L’ère numérique qui a démarré avec le début du siècle peut nous paraitre décevante à bien des égards. La révolution annoncée ne pointe pas encore son bout du nez une décennie plus tard. Même si Microsoft, Google, Facebook, Twitter ont pris une place importante dans notre quotidien, ils n’ont pas changé fondamentalement l’organisation de nos sociétés. Un temps promu comme vecteur de transformation et porteur de révolution, notamment lors des printemps arabes, la révolution numérique s’est transformé en autant d’épiphénomènes que d’applications plus ou moins utiles qui encombrent nos téléphones.

Et si la véritable révolution restait à venir ? Car les énormes capitaux que se sont dotés les entreprises high-tech comme Google ou les richissimesmonarchies du golf arabique, sont réinvestis massivement dans des projets beaucoup plus secrets et néanmoins prometteurs. Google X – life science, Calico, la ville nouvelle de Masdar, en sont des exemples parmi d’autres. Après la première déception de ce début de siècle, le numérique peut il nous faire croire ingénument à l’espoir d’un avenir meilleur ?

« Walking city » l’œuvre numérique 3D du collectif Universal Everything nous propose une relecture du 21eme siècle de l’idée proposée par l'architecte britannique Ron Herron en 1964. Dans un article paru dans la revue d'avant-garde d'architecture Archigram, Ron Herron propose des structures robotiques habitables de construction massive avec leur propre intelligence, qui pourraient se déplacer librement dans le monde, allant là où les ressources seraient disponibles ou nécessaires.
Cette œuvre a été montrée au festival arts electronica 2014 et a reçu le prix Pixars « Golden NICA ».

« Electronic Cities » l’installation numérique de Julien Bayle essaie de composer des morphologies urbaines. Cette installation est inspirée du cyber punk manga «Blame!» de Tsutomu Nihei, œuvre dans laquelle les villes se construisent presque par elles-mêmes. "Electronic cities" est l'ode algorithmique aux cités croissantes de manière organique. Ce travail de Julien Bayle résonne comme la matérialisation artistique de la réflexion de l’urbaniste britannique Michael Batty sur la croissance naturelle, organique ou planifiée des cités.
« Illusion Device » de Kim Byungkwan questionne notre rapport à l’apparence, morphologie changeante, le vêtement du futur pourrait aussi devenir odorant, amaigrissant, anti-polluant voir aide soignant et permettre de changer d’apparence instantanément. « Mickey Reset » vidéo d’animation en 3D nous rappelle les progrès a venir dans le domaine de la médecine régénératrice ou réparatrice.

La revisite de la « vue imaginaire de la grande galerie du Louvre en ruines »,  œuvre du XVIIIème siècle d’Huber ROBERT par Dania Reymond, à travers un long travelling virtuel, évoque la pérennisation des œuvres d’art grâce à la numérisation. L’entreprise titanesque de numérisation des œuvres d’art lancée par Google avec son Google Art Project sera l’un des meilleurs moyens de préserver et de partager les œuvres d’art à l’avenir.

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Exposition d’art numérique

Julien Bayle | Kim Byungkwan | Dania Reymond | le collectif Universal Everything

Exposition du 19 janviers au 28 février 2015

Vernissage le samedi 17 janvier de 18h à 21h

Brunch et visite guidée pour les enfants le dimanche 8 février à 13h

L’idée d’un projet d’exposition autour de l’utopie numérique est née avec la certitude que cette année sera le début d'une période nouvelle et novatrice du point de vue technologique, annoncée par des néologismes prometteurs : Médecine exponentielle (Exponential Medecine), méga-donnée (big data), Ville nouvelle écologique (Ecocity).

L’ère numérique qui a démarré avec le début du siècle peut nous paraitre décevante à bien des égards. La révolution annoncée ne pointe pas encore son bout du nez une décennie plus tard. Même si Microsoft, Google, Facebook, Twitter ont pris une place importante dans notre quotidien, ils n’ont pas changé fondamentalement l’organisation de nos sociétés. Un temps promu comme vecteur de transformation et porteur de révolution, notamment lors des printemps arabes, la révolution numérique s’est transformé en autant d’épiphénomènes que d’applications plus ou moins utiles qui encombrent nos téléphones.

Et si la véritable révolution restait à venir ? Car les énormes capitaux que se sont dotés les entreprises high-tech comme Google ou les richissimesmonarchies du golf arabique, sont réinvestis massivement dans des projets beaucoup plus secrets et néanmoins prometteurs. Google X – life science, Calico, la ville nouvelle de Masdar, en sont des exemples parmi d’autres. Après la première déception de ce début de siècle, le numérique peut il nous faire croire ingénument à l’espoir d’un avenir meilleur ?

« Walking city » l’œuvre numérique 3D du collectif Universal Everything nous propose une relecture du 21eme siècle de l’idée proposée par l'architecte britannique Ron Herron en 1964. Dans un article paru dans la revue d'avant-garde d'architecture Archigram, Ron Herron propose des structures robotiques habitables de construction massive avec leur propre intelligence, qui pourraient se déplacer librement dans le monde, allant là où les ressources seraient disponibles ou nécessaires.
Cette œuvre a été montrée au festival arts electronica 2014 et a reçu le prix Pixars « Golden NICA ».

« Electronic Cities » l’installation numérique de Julien Bayle essaie de composer des morphologies urbaines. Cette installation est inspirée du cyber punk manga «Blame!» de Tsutomu Nihei, œuvre dans laquelle les villes se construisent presque par elles-mêmes. "Electronic cities" est l'ode algorithmique aux cités croissantes de manière organique. Ce travail de Julien Bayle résonne comme la matérialisation artistique de la réflexion de l’urbaniste britannique Michael Batty sur la croissance naturelle, organique ou planifiée des cités.
« Illusion Device » de Kim Byungkwan questionne notre rapport à l’apparence, morphologie changeante, le vêtement du futur pourrait aussi devenir odorant, amaigrissant, anti-polluant voir aide soignant et permettre de changer d’apparence instantanément. « Mickey Reset » vidéo d’animation en 3D nous rappelle les progrès a venir dans le domaine de la médecine régénératrice ou réparatrice.

La revisite de la « vue imaginaire de la grande galerie du Louvre en ruines »,  œuvre du XVIIIème siècle d’Huber ROBERT par Dania Reymond, à travers un long travelling virtuel, évoque la pérennisation des œuvres d’art grâce à la numérisation. L’entreprise titanesque de numérisation des œuvres d’art lancée par Google avec son Google Art Project sera l’un des meilleurs moyens de préserver et de partager les œuvres d’art à l’avenir.

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copyright 2014 galerie karima celestin . Credits photos : les artistes, L Fourneaux et P Munda.